POV :)

" Entre 8 et 10 millions d’Indiens vont entrer tous les ans sur le marché du travail au cours des dix prochaines années ; l’économie du pays va donc devoir créer près d’un million d’emplois par mois jusqu’en 2025." Source https://data.worldbank.org/country/india

vendredi 15 avril 2022

Le Zucko me gâche l'apéro

 Voilà-t-y pas que je voulais publier cela :

 


  et que le robot sucemarko me répond cela :


 

  Vous pensez comme je goûte l'emploi ici de "détournée", pour "non conforme à la Charia" :D Les nazes. 

Je ne sais toujours pas d'ailleurs ce que j'ai détourné. A part quelques enfants du droit chemin :D

 Instagram m'a punie au motif que je faisais de la promotion de trucs commerciaux. Dans un monde où tu es noyée sous les pubs porno, j'avais osé en envoyer une trop drôle d'un de mes comptes à l'autre...

Bon bref, l'essentiel, c'est cela :

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/menac%C3%A9s-les-enseignants-d-un-coll%C3%A8ge-de-cergy-alertent-on-est-en-train-de-se-faire-broyer/ar-AAWe0aZ?ocid=winp1taskbar&cvid=2ee07b714d0b41cba9f7dcb13e706f6b 

Lisez, lisez, mes bons amis.

Notez que ces abrutis écrivent "Philippe" tout au long de l'article. Comme disait Lao-Tseu, entre les abrutis et les imbéciles, on n'a pas le cul sorti des ronces.

Donc, ça commence à faire de petits bouillons, envoyez l'apéro ! Heureusement qu'il reste ce blog pour échapper à la censure des salopes de FB.

"L'insurrection qui vient". Je pense que la phrase est de Nicolas Zurstrassen.

Je me suis faite ban de Tiktok aussi d'ailleurs, je vous raconterai. 

Sinon, je sais que cela finit par être idiot, de répéter "Je t'aime" dans le vide, mais une urgence à le dire, fût-ce à Toi, c'est à dire à personne. 

J'ai en quelque sorte "épuisé le reste". Seul "Je t'aime" a résisté, debout au milieu des décombres, pleins chaque jour de nouvelles fleurs. J'y prononce chaque jour dans le vide cette oraison, une parole qui ne signifie rien, mais tout pour moi, adressée à une personne qui n'existe pas, et qui est tout pour moi.

N'oubliez pas, le compteur tourne, on est vers 1933...