POV :)

" Entre 8 et 10 millions d’Indiens vont entrer tous les ans sur le marché du travail au cours des dix prochaines années ; l’économie du pays va donc devoir créer près d’un million d’emplois par mois jusqu’en 2025." Source https://data.worldbank.org/country/india

mardi 22 décembre 2020

La proposition de loi "flicage global"

 D'ailleurs, en général, vous pouvez systématiquement remplacer "sécurité" par "flicage", ça marche. "Vous êtes filmés pour votre flicage", vos sacs sont controlés pour votre flicage, on contrôle sans cesse votre ausweiss pour votre flicage etc.


Je reproduis donc ci-dessous une page  d'Amnesty :

https://www.amnesty.fr/liberte-d-expression/actualites/pourquoi-la-proposition-de-loi-securite-globaleest-dangereuse-pour-nos-libertes

UN DANGER POUR LE DROIT À LA VIE PRIVÉE ET LE DROIT DE MANIFESTER 

La proposition de loi « sécurité globale » élargit également la possibilité pour la police de filmer les citoyens en utilisant d’avantage de caméras « piétons » (article 21) ou « aéroportées » et même des drones (1) (article 22). Nous appelons les parlementaires à supprimer ou substantiellement amender ces articles. Les agents de police pourraient ainsi accéder directement aux enregistrements (article 21), ce qui leur était interdit jusque-là. Ceci pourrait s’avérer problématique en cas d’enquête sur des pratiques illégales commises par les forces de l’ordre. Certes, ces caméras pourraient dissuader certains policiers d’utiliser la force. Mais si le choix de démarrer ou d’arrêter les enregistrements leur revient, il y a un risque qu’ils soient biaisés et sélectifs. Nous recommandons la plus grande prudence sur le port par les forces de l’ordre de caméras "piétons" : il faut prendre en compte les risques pour les droits fondamentaux, en particulier pour le droit à la vie privée, le droit à la dignité des personnes filmées et le droit de manifester.  

De plus, avec l’article 22 qui élargit l’usage des drones, risquer d’être filmé peut dissuader des personnes de participer à des rassemblements pacifiques, notamment si elles craignent des poursuites ultérieures pour le simple fait d’y avoir participé. Cela a déjà été le cas en France. Nous avons déjà documenté des situations où des manifestants rassemblés pour défendre les droits des soignants, par exemple, ont reçu des amendes après avoir été identifiés par des caméras de surveillance. Ils ont été sanctionnés pour participation à une manifestation interdite, alors même que cette interdiction prise par le gouvernement a ensuite été jugée illégale car disproportionnée. 

LA SURVEILLANCE DE MASSE EN MARCHE 

En l’état, la proposition de loi ouvre la possibilité d’être filmé par les forces de l’ordre dans pratiquement tout l’espace public. Les rapporteurs voudraient même faciliter la transmission aux autorités des vidéos des immeubles d’habitation. Rien dans la proposition de loi actuelle ne garantit que les images captées par les autorités ne feront pas in fine l’objet d’un traitement par des logiciels de reconnaissance faciale, une technologie en plein développement.  


(1) Note de moi, c'est un peu comme ce que les Israéliens et les Saoudiens utilisent pour tuer leurs ennemis sans passer par un jugement, mais, pour le moment plus petit, et pour le moment sans arme.

lundi 14 décembre 2020

La guerre contre les machines a commencé

 Mais vous ne ferez rien, comme d'ab, petits moutons merdiques.

"Des caméras thermiques et des mégaphones pourront être fixées sur les appareils volants."

https://www.lavoixdunord.fr/905623/article/2020-12-10/confinement-la-police-belge-compte-deployer-des-drones-pour-surveiller-les-fetes 




https://www.lavoixdunord.fr/905623/article/2020-12-10/confinement-la-police-belge-compte-deployer-des-drones-pour-surveiller-les-fetes



Descendez ces merdes avant qu'ils vous tirent dessus, connards.

jeudi 21 mai 2020

Haro sur le baudet !

Dans la série "Votre opinion est un délit", il y a un type qui commence à sérieusement me râper les glaouis, c'est le genre d'article qui commence par ça :

 Là, ça sent la Gestapo à plein nez, ça sent la délation, l'arbitraire, ça pue le vestiaire de vigile, le berger allemand, le tonfa, bref tout ce qu'on aime quand on voir une république bananière se transformer en porcherie fasciste.


D'abord qu'est-ce qu'un propos haineux ? Ils ont un hainomètre, une définition ? Nooooon...  Ensuite ils sont impunis, ces propos. Ce n'est pas un propos qu'on punit, c'est bien leur auteur. Mais le lapsus est révélateur, il trahit l'attitude. Peu importe la personne, ce qu'il faut faire disparaître, c'est la trace.

Peu importe le citoyen qui est derrière, c'est la trace de son opinion qui doit disparaître.

Ben oui, mais ça msieu dames, c'est problématique. Parce que, mine de rien, derrière "le propos qui ne doit pas rester impuni", il y a tout de même un citoyen qui s'est exprimé. Eh oui, que son opinion plaise ou pas au pouvoir policier qui réprime, eh ben c'est un citoyen qui a exprimé son opinion, là, tout de même...

 Et alors là, accrochez-vous, on arrive au sublime, qui va décider de ce qu'est un propos haineux, qui décide si l'opinion d'un citoyen est exprimée ou pas ?

Eh ben les fournisseurs de bande passante, tiens, les techos, les ingénieurs informaticiens, ils ont été formés pour. Le sale boulot, examiner, trier, couper, au lieu de le prendre en charge comme un vrai boulot de justice et de police que c'est, on le refile aux autres. Ben oui, c'est un boulot de l'état, ce me semble, que de faire respecter les lois. Au début de l'Internet, tous les fournisseurs se défaussaient ainsi :" Nous fournissons de l'espace d'hébergement, ce que le client met dessus ne nous regarde pas".

Et c'est bien vrai. C'est comme si vous accusiez le propriétaire d'un appartement de ne pas avoir viré un locataire qui détournait de l'argent sur Internet. Vous, en tant que propriétaire, votre boulot c'est de maintenir le bâtiment, d'offrir les services au contrat, et d'encaisser les loyers. Vous n'allez pas regarder qui fait la pute et le macreau dans les apparts pour résilier le bail !

Eh bien c'est pourtant ce que ce gouvernement demande de faire aux fournisseurs Internet, leur boulot.

Donc ben, l’État, t'embauche des flics, des juristes et des juges, et tu fais ton boulot, tu te laboures les contenus, et tu soupèses, et tu évalues, et là tu demandes, sur décision de justice, la coupure au fournisseur, qui n'a plus qu'à tourner le bouton.


C'est quoi un site haineux, ça se reconnaît à quoi ?

Maintenant, on va s'approcher du fonds, ce qui fait bien grincer des dents les larves domestiquées à la pensée unique, lesquelles larves ont, bien ancrée au fonds de leur derche l'opinion que ce qu'elles pensent, c'est tout ce qu'il y a à penser. 

Par exemple, premier truc, moi j'ai envie de pouvoir lire la prose des intégristes islamistes. Oui, oui, les Al quaeda et autres affreux bouffis pourris, moi j'ai envie d'avoir accès à leur discours. Je veux pouvoir juger par moi-même de ce contenu et de ce qu'on doit en faire .

Alors ? Pas le droit ? On coupe avant de me faire lire ? Parce qu'on a décidé quoi ? Que je n'étais pas assez grand pour voir une bite de chameau, ou de déceler un mauvais argument ? Non, alors c'est quoi ? Au nom de quoi on me prive de consulter l'opinion de ce monsieur s'il lui plaît de me la donner ?

Si ce monsieur intégriste islamiste et moi avons envie d'échanger nos points de vue sur la vie, et nos arguments sur le port de la culotte à trous, en quoi ça regarde les pseudos-flics d'Orange ou de Free, vicariés par les hou-c'est-pas-beau-lislamistes.

Bien. Maintenant l'inverse. Pourquoi est-ce qu'on serait obligé de n'entendre que l'opinion des gens qui trouvent que les LGBT c'est vachement bien ? Si j'ai envie d'entendre les arguments des gens qui trouvent que les LGBT ça pue ?

Je suis obligé de dire que les LGBT c'est bien, mais si je pense le contraire ? Ah non, c'est pas possible ? Ah d'accord. Faut forcément trouver ça bien et dire que c'est bien. Un peu comme en Chine, en Corée du Nord, en Thaïlande, quoi.

Si je trouve que les LGBT c'est pas bien, alors Orange va me couper le site Internet. Pas question que ça paraisse.. Ah oui, un peu comme les trucs LGBT en Iran et an Afghanistan, pas question que ça paraisse. Voir à ce sujet la ridicule initiative de la télé néerlandaise.

https://www.causeur.fr/societe-diffusion-neerlandaise-nos-scandale-177278

Voilà, quoi, les censeurs à l'envers qui veulent obliger les autres à encenser les gouines et les pédés, vous nous cassez les couilles, laissez-nous parler. J'ai plus 8 ans pour qu'on m'envoie me laver la bouche avec des gros mots.

Les cons homophobes, c'est toi le gouvernement, et ton école et ta société et tes institutions qui les ont fabriqués, pas moi. Moi mes enfants ne sont pas homophobes, alors éduque les tiens correctement, et tu viendras te mêler de donner des leçons. Pour l'instant le fabricant d'homophobes, c'est toi, pas moi.

Parce que maintenant, on va en arriver au fonds. Moi ça me pose problème qu'il y ait 800.000 visites par jour. Moi ça me pose problème, la déferlante homophobe. Moi quand 800.000 citoyens disent quelque chose, j'écoute ce qui se passe, je ne demande pas aux salariés d'Orange de s'asseoir sur le haut-parleur pour étouffer le bruit.
Moi ça m'interpelle, 800.000 personnes qui parlent, ça me parle, ça m'éveille l'attention, et pour autre chose que penser à les faire taire, ou du moins qu'on n'entende plus leur opinion. 

Voilà ta principale faute, gouvernement, et tu nous fais et la refais depuis un demi-siècle avec l'immigration. Au lieu d'écouter ce que disent les gens, tu les traites de racistes, et tu te dis que ça finira bien par disparaître comme un vilain bobo. Quand les gens disent que c'est pas évident, la glorification de l'homosexualité, au lieu d'écouter, tu les traites d'ordure, tu fais des lois pour les faire taire, et on n'en parle plus.

Si, gouvernement, on en parle toujours, et on en parle encore, et on va en parler encore (1).  Ta société accentue les inégalités, tu sais très bien comment ça se termine, et tu traites ça comme le délit d'opinion de quelques délinquants. Tu te fous de la gueule du monde, gouvernement, tu sais très bien que tu laisses couver un feu qui va reprendre un jour de plus belle. 

Écoute ce que te disent les gens, gouvernement, regarde les vrais problèmes qu'il y a derrière, et traite les, au lieu d'essayer de museler le bruit que ça fait, avant que ça fasse un bruit de bottes. Je sais, t'en as rien à foutre, c'est bien ça le souci, en fait.

Entendons-nous bien, je ne dis pas cela au nom d'un ordre moral quelconque, ou d'une défense de la famille et des valeurs patin-couffin, comme en Hongrie, où il viennent d'interdire de faire enregistrer un changement de sexe à l'état-civil.

Tout simplement parce que je n'en ai rien à foutre, que les Hongrois, ou les autres d'ailleurs, soient trans. Ils peuvent tous se faire couper la merguez en long, je m'en tamponne dans les grandes largeurs. Je trouve ça aussi con d'être trans que d'interdire de l'être, puisque je n'ai rien à foutre de l'un et de l'autre, en égale proportion.

En revanche, ce qui me tape sur le système, c'est l'injonction à trouver ça bien.  Je trouve ça aussi con que d'être trans que d'être communiste, pro-syrien, antipalestinien, athéiste, marxiste, juif ou sud-américain. On "n'est " pas quelque chose pour la bonne raison que nous ne sommes rien. Nous sommes des zombies en perdition dans l'éther, s'apostrophant en vain, puisque nulle réponse ne vient jamais du crucifié qui gésit à quelques kilomètres de votre croix dans l'espace, et qui voudrait juste que ça finisse.

Donc je n'en ai rien à foutre, du mariage LGBT, et ça me casse les noix qu'on m'enjoigne de trouver ça bien. Qu'ils/elles se fourrent tous les godes de la terre dans le cul jusqu'à s'en faire péter la muqueuse intestinale, et bon vent. Mais qu'on ne me demande pas d'applaudir à ce cirque débile. Et j'aimerais bien avoir aussi le droit de le dire, puisqu'on en est à libérer la parole.
 
C'est le même problème ailleurs, d'ailleurs. Au lieu de se demander pourquoi des jeunes migrants sur la bretelle du périph' en arrivent à s'injecter du crack, on tape sur les dealers qui ont trouvé un business. C'est pas moral de dealer ? C'est pour les bourgeois qui ont "une bonne situation", la morale. Quand tu crèches dans une tente sous le périph et que tu te drogues pour oublier que tu fais le tapin, la morale c'est vraiment le truc qui sert à rien.

Au lieu de se demander pourquoi M. et Mme Toulemonde bouffe du Tramadol par paquets de 18, on interdit les opiacés. Ben ouais, voilà, le problème est réglé, et allez...


(1) Comme dit un mec dans Causeur : "

Ils [les pauvres] rêvent de rénover leurs écoles avant d’y installer des vestiaires unisexes. La nouvelle gauche s’est crue modeste en arborant ses diamants progressistes. Elle doit son existence à une immense qualité de vie qui risque fortement de s’évaporer. 

Après le crash, la bien-pensance perdra ses privilèges 

Même au Canada, il est loin d’être certain que la nouvelle gauche pourra poursuivre ses activités comme si rien n’avait changé. Dans ce laboratoire de la mondialisation heureuse, jamais les «progressistes» n’auraient pu parvenir à exercer un tel pouvoir sans les énormes fonds publics dont ils ont bénéficié. Encore à l’heure actuelle, des centaines de chercheurs universitaires y profitent de généreuses bourses consacrées à la promotion du multiculturalisme, du féminisme «intersectionnel» et d’une infinie variété d’autres utopies extravagantes. Comment justifier le financement de ces idéologues dans les mois, voire les années à venir? Ces sommes devront être redirigées vers la recherche en santé publique à défaut de ne pas être économisées par un État en faillite.

[...]
Les deux grandes tendances qui sortiront gagnantes de l’après-Covid-19 sont le courant écologiste en faveur de la production locale, du terroir, et la droite démondialiste désireuse de rétablir les frontières. Ces deux courants ne sont d’ailleurs pas incompatibles. Habituée depuis au moins trente ans à évoluer en marge des institutions publiques (universités, médias subventionnés par l’État, organismes culturels, etc.), la droite démondialiste pourrait profiter de la déconfiture morale et financière de ses adversaires pour prendre le relais. Elle pourrait tirer avantage de son accoutumance à la guérilla, alors que la nouvelle gauche se verra privée d’une partie de ses abondantes et faciles munitions institutionnelles…


mardi 14 janvier 2020

Chroniques crétiniennes

Un million, c'est le nombre d'albums posthumes de Johnny Hallyday vendus. Même s'ils ne descendent plus sur les rond-points, les gilets jaunes continuent de se manifester.

Un million, c'est le nombre de jeunes Indiens (de l'Inde brahmanique) qui entrent, chaque mois,

chaque mois,

pas siècle, ni année, non, "mois".

 (je répète pour que vous preniez bien conscience)

 sur le marché du travail. 

Chaque mois, c'est donc un million de nouveaux jeunes Indiens qui s'attendent à ce que, dans les années qui viennent,  le monde leur offre, en échange de leur dévoué travail après des études chèrement payées, un appartement ou une maison, une voiture, une télé, des vacances... La pente va être raide.

Peut-être que, comme le 11 septembre, certains préfèrent sauter dans le vide que de la subir. C'est pour moi une partie de l'explication quant à l'augmentation des décès par overdose de TSO aux USA.

A propos d'Inde, voici une magnifique connerie produite par nos amis Turcs pour inaugurer en beauté l'année 2020 :


 Il s'agit d'un lotissement d'environ 350 baraques à 500.000 euros pièce qu'un promoteur turc s'est mis dans l'idée de construire. Look entre "renaissance en bords de Loire" et Disney.


Hélas, le projet est aujourd'hui abandonné et le promoteur en faillite  "après que des clients, qui avaient payé pour les maisons qu’ils avaient achetées, n’ont pu honorer leur paiement."
(nda : ils avaient donc moyennement "payé", mais bon, passons, c'est de la traduction uber sans doute)

À l’origine du problème, selon Mezher Yerdelen: les difficultés rencontrées par les investisseurs du Golfe, liées notamment à la chute du prix du pétrole (1), ainsi que «l’impact négatif des fluctuations économiques sur les prix» du BTP en Turquie".


Les "fluctuations économiques"... Ce que je trouve marrant, c'est que personne ne signale l'énorme, l'aveuglante, la qui-crève-l'écran connerie du projet. D'un autre côté c'est bien ainsi : nous sommes le seul media à révéler ce que les autres ne voient pas.

La connerie à perte de vue

D'ailleurs, le signe distinctif de notre ère, c'est le regalinudisme, néologisme que je forge pour dire ce qui est conté dans Les habits neufs de l'Empereur. Le roi est nu, mais personne ne le dit.A la place, on dit une galéjade.

Alors je vais en collectionner les signes. En voici un, tiré de la même page :


Non, le secteur ne connaît pas un "coup de mou". Il accompagne l'effondrement de notre civilisation.

J'aime bien les commentaires de l'article qui suggèrent de mettre les migrants dedans :)

Sinon, sa mère a eu le courage, après de nombreuses années l'incitant à le faire, de demander à une quelconque garce de 17 ,équipée de milliers de francs de chaussures de sport, de daigner participer à la vie de la maison en mettant la table, effort qui semble à la portée d'une personne qui exige d'être accompagnée, qui au tennis, qui au jiu-ji-tsu, tellement elle a d'énergie à dépenser.

Voilà le résultat :


Temps passé, : 10 secondes, histoire de ne pas tomber dans la déchéance de paraître travailler plus que sa soeur,  qui mettra 8 secondes pour enlever son assiette avant de retourner dans sa chambre regarder les potins de Cyprien sur "comment s'enlever les crottes de nez pour plaire aux garçons quand on est une fille" ou bien "Suis-je vraiment bi dans ma tête de conne, et ou se mettre un doigt pour le savoir", pendant 6 ou 7 heures.

Son imbécile de mère, trop occupée à jouer sur son Iphone à 4000 francs, ne contrôle bien entendu jamais la qualité de l'objectif donné. Elle complétera sans rien dire.

"Elles sont fatiguées, elles se lèvent tôt pour aller au collège". C'est surtout qu'elles se couchent tard...










Franchement, à 16 ans, y'a mieux à faire de ses nuits, non ?


Toute remarque sur ces processus vous attirera les foudres de la mère "Mais arrête de les embêter", et des "On est en mode week-end" des petites ordures qui s'engouffrent dans la brèche avec un instinct de femme en construction. 

Une civilisation de ce genre n'a plus que quelques années à vivre. J'en observe avec délectation l'agonie. Mais ne me demandez pas de m'y intégrer, quand ce n'est que pour dire "amen" aux conduites les plus putassières de votre lâcheté.


(1) Vous l'avez sentie, vous ?