D'abord, une putasserie qui m'a terrassée, et que j'ai trouvée dans ce blog. Je ne sors pas souvent dans le monde, et grand fut mon choc en constatant que la Mairie de Paris n'hésite plus à accrocher en guise de banderoles de Noël, des calicots publicitaires aux arbres des avenues.
La putasserie a tellement tout envahi qu'on ne la voit plus là où elle est. Ils ne la voient plus. Une marque de merdes industrielles qui déshonore le chocolat peut défigurer à loisir un lieu public de son logo, et ce avec la bénédiction des autorités. C'est proprement sidérant... C'est un peu comme un qui s'éveillerait avec les Champs pavoisés de croix-gammées et qui se dirait : " J'ai dû rater quelques épisodes".
Ils ont eu quoi en échange ? Les banderoles gratuites, un portrait de l'ambassadeur en chemise brune, une boîte de chocolat et un doigt ? Crétins...
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"De nos jours, on ne peut plus se parler normalement, tant il y a de loups à nous hurler dans les oreilles"
Marc-Aurèle
Et c'est un peu ce que je me disais en pensant à toutes ces actrices qui ne sont pas montées pour la 45è fois de suite dans la chambre d'un critique de cinéma connu pour baiser les comédiennes en échange du rôle qu'il leur obtenait, pratique aussi vieille que l'humanité, et ce après l'avoir allumé toute la nuit en boîte.
Pourquoi on ne les entend jamais ? Elles sont pourtant plus nombreuses que les autres, non ?
Pourquoi on ne les entend jamais ? Elles sont pourtant plus nombreuses que les autres, non ?
Toutes ces actrices qui ont dû s'accrocher, se battre par d'autres moyens que de coucher, avec leur talent pour seule arme, car elles savaient très bien que le type n'allait intervenir que si elles couchaient avec lui.
Pourquoi on ne les entend jamais ? Elles sont pourtant plus nombreuses que celles qui ont accepté de monter dans sa chambre en échange du rôle et en espérant échapper au coup de queue.
Pourquoi on ne les entend jamais ? Elles sont pourtant plus nombreuses que celles qui ont accepté de monter dans sa chambre en échange du rôle et en espérant échapper au coup de queue.
Elles savaient très bien qu'après être monté dans sa chambre, avoir minaudé en se déshabillant plus ou moins, elles hurleraient pour ameuter l'hôtel au moment où il leur mettrait la main entre les cuisses, et se disaient donc raisonnablement : " Ce n'est pas la peine d'aller jusque là pour ça".
Alors les autres, celles qui savaient très bien ce qui allait se passer, porter plainte pour viol en redescendant l'escalier...
J'ai bossé dans une pizzeria, je vous assure qu'il y a des clients, heureusement pas souvent, qui bouffent tout le plat jusqu'à la dernière miette, saucent l'assiette, et là vous appellent pour faire un scandale devant tout le monde comme quoi leur pizza était infecte, pas cuite, véreuse, et qu'ils refusent de la payer.
J'ai bossé dans une pizzeria, je vous assure qu'il y a des clients, heureusement pas souvent, qui bouffent tout le plat jusqu'à la dernière miette, saucent l'assiette, et là vous appellent pour faire un scandale devant tout le monde comme quoi leur pizza était infecte, pas cuite, véreuse, et qu'ils refusent de la payer.
Pour la première fois au monde, le viol par vociférations a été reconnu comme un délit.
Le 11 juillet dernier, la Cour suprême suédoise a été confrontée à sa première affaire de viol par vociférations. L’accusé était un homme de 27 ans ayant eu une relation sexuelle consentie avec une adolescente. Il avait rencontré la jeune femme dans un bar et lui avait proposé après plusieurs rencontres de passer la nuit avec elle. La jeune femme a accepté, elle a déshabillé le jeune homme, elle l'a masturbé pour l'exciter. Elle a reconnu être très excitée par la situation, toute mouillée et haletante d'impatience. Elle a crié "oui, mets la moi toute, ta grosse q" avant de s'emparer du sexe de son partenaire, de se l'introduire et de pousser ses hanches contre lui pour qu'il la pénètre à fonds en criant "Ah oui b-moi, démonte-moi ! ".
Cependant elle a expliqué ne pas vouloir avoir de relation sexuelle pendant laquelle l'homme se met à crier "Ah ma bonne s..., je vais t'en donner, je vais te défoncer la r..., je vais te démonter les vertèbres". Le jeune homme a donc été condamné pour viol."
Ah là là, mais non, c'est pas vrai ! Heureusement, notre équipe de rédaction a débunké pour vous cette fake news, et a pu vous prévenir à temps qu'il s'agissait d'une fausse nouvelle. Heureusement, nous avons pu dénoncer le site aux autorités, qui ont envoyé la famille des délinquants en camp de redressement.
Voilà la vraie histoire :
Pour la première fois au monde, le viol par négligence a été reconnu comme un délit. Désormais, en Suède, un personne peut être jugée pour viol si le partenaire sexuel n’a pas clairement stipulé de non-consentement.
Le 11 juillet dernier, la Cour suprême suédoise a été confrontée à sa première affaire de viol par négligence. L’accusé était un homme de 27 ans ayant eu une relation sexuelle non consentie avec une adolescente. Il avait rencontré la jeune femme sur les réseaux sociaux et lui avait proposé après plusieurs rencontres de passer la nuit avec elle. La jeune femme a accepté, cependant elle a expliqué ne pas vouloir avoir de relation sexuelle. Or, une fois dans le lit, l’homme a commencé l’acte. Sous le choc, l’adolescente était incapable de bouger ou de parler.
Ce détail a joué un rôle majeur dans l’affaire. Pour que le geste ne soit pas considéré comme un viol, l’homme aurait dû interroger sa partenaire ou attendre qu’elle réagisse. « Le fait que la plaignante et l’agresseur se soient allongés dans le même lit et qu’ils n’aient été vêtus que de sous-vêtements ne veut pas dire que la plaignante a été volontaire pour des actes sexuels », comme le stipule le rapport de la Cour suprême.
La victime n’ayant pas pu émettre son non-consentement, son agresseur a été condamné. La peine encourue était à l’origine de 8 mois de prison.
Toutefois, celle-ci a été allongée à 2 ans et 3 mois de prison car l’homme était connu de la justice pour d’autres délits sexuels dont des viols d’enfants.
Moralité : S'allonger en sous-vêtements dans un lit avec un inconnu violeur professionnel, c'est risquer de s'en prendre un coup. Cela lui aura échappé. Autre défaut d'éducation, sans doute.
Toutefois, celle-ci a été allongée à 2 ans et 3 mois de prison car l’homme était connu de la justice pour d’autres délits sexuels dont des viols d’enfants.
Moralité : S'allonger en sous-vêtements dans un lit avec un inconnu violeur professionnel, c'est risquer de s'en prendre un coup. Cela lui aura échappé. Autre défaut d'éducation, sans doute.
Une merde de chocolat sur la plus belle avenue du monde, une avenue de merde. J'ai vécu 23 ans à Paris, j'ai dû y passer moins de 5 fois. Question de goût, mais pas que.
RépondreSupprimerLa true news est (presque) aussi * (je trouve pas l'adjectif) que la fake news. Faudra-t-il un jour exiger un document enregistré chez le notaire avant de passer à l'acte ? J'ai beau être un vieux con (pas directement concerné), je me pose la question.
Un jour, une dame très chic m'a présenté un certificat médical (pas de SIDA) avant de passer dans ma chambre.
Et dire que Louis XIV, roi de droit divin qui régnait absolument sur la nature et pas que, partait chasser le matin et faisait ce qu'il désirait des jeunes pucelles qu'il croisait en chemin. Ne devrait-on pas lui intenter un procès à retardement ? On en causerait dans les chaumières au vu des articles de Voici.
Peut-être pas un acte notarié, mais je vois pire, votre smartphone se chargera de vous dénoncer.
SupprimerEncore une fois, il faut éviter toute souffrance aux victimes, mais c'est une fois de plus, et toujours dans le même sens, le moyen qui pèche.
Mettre une caméra pour détecter le violeur, c'est s'exonérer d'éduquer le jeune homme. La caméra sera là pour récupérer les dégâts d'un boulot que la société aurait dû assurer. Mais s'occuper des gens, c'est cher, on a mieux à faire de l'argent.